L’AMIF s’associe à la Fédération Française d’Athlétisme pour la 10e édition du Décanation

Le 13 septembre prochain à Paris, l’AMIF s’associe à la Fédération Française d’Athlétisme pour célébrer le sport. Cette dernière organisera la 10e édition du Décanation, une manifestation internationale unique au monde, promouvant depuis plusieurs années la pratique de l’athlétisme.

Cet événement est l’occasion pour l’AMIF de rappeler la nécessité d’encourager le sport dans les collectivités locales. Source de cohésion, la pratique sportive rapproche les populations quelles ques soient leurs origines. La mise en place d’une politique sportive locale en cohérence avec les attentes et les besoins du territoire favorise le vivre ensemble et le développement d’un collectif.

Preuve de l’union que fédère le sport, lors du Décanation, les plus grands athlètes mondiaux provenant de dix disciplines différentes concourront sur le stade Charlety à Paris. L’Equipe de France affrontera 8 équipes nationales masculines et féminines dont les Etats-Unis, la Russie ou encore l’Allemagne.

La Fédération met à disposition des communes franciliennes 1000 places gratuites pour les jeunes, les associations sportives et aux personnes qui n’auraient pas accès habituellement à cet événement.

Cette initiative sportive est aussi l’occasion de rappeler le soutien de l’AMIF à la candidature de Paris aux Jeux Olympiques de 2024. Votée à une large majorité lors du Conseil de Paris, la candidature aux Jeux Olympiques est également soutenue à plus de 60% par les Franciliens selon une étude de Unionteamsport. Les élus parisiens ont soutenu le projet tant qu’il ne met en pas danger les finances parisiennes. La ville est prête à assumer une partie des 60 millions d’euros que coûtera la mandature et le reste des 3 milliards d’euros sera porté par l’Etat et les entreprises. Tous misent sur le fait que les Jeux Olympiques accentueront le rayonnement international de la France, et plus précisément de l’Ile-de-France. Ils seraient source d’attractivité économique par la création d’emplois, le développement des infrastructures de logement et de transports. En attendant la réponse du Comité international olympique en 2017, les maires franciliens continuent de soutenir la pratique sportive au sein de leurs municipalités.