COP 21 : les Maires d’Ile-de-France s’engagent pour l’après

 Le Journal des communes 

À la veille de la COP 21, Stéphane Beaudet, président de l’Association des Maires d’Ile-de-France (Amif) a dévoilé les résultats d’une enquête sur « Les Maires d’Ile-de-France et la COP 21 ».

Quels que soient les domaines – rénovation thermique des bâtiments, urbanisme, gestion durable de l’énergie, des déchets – les élus locaux innovent, tout en sollicitant davantage de moyens pour mener à bien leurs projets, arguant que l’échelon local est le plus adapté pour mener ces actions. Un constat particulièrement vrai en Ile-de-France où les élus locaux, comme l’a souligné Stéphane Beaudet, sont particulièrement investis dans la lutte contre le changement climatique. C’est d’ailleurs ce que soulignent les résultats de l’enquête « Les Maires d’Ile-de-France et la COP 21 ».

Premier constat, 100% des maires franciliens ont déjà adopté des mesures pour lutter contre le changement climatique et espèrent élargir leurs domaines d’interventions d’ici à 2020. De la gestion économe de l’énergie dans les bâtiments et espaces publics jusqu’à la celle des déchets, en passant par le développement des transports doux et la réintroduction de la nature et de la biodiversité dans la ville, les édiles sont porteurs de projets novateurs. Ils restent néanmoins contraints par le contexte budgétaire actuel. C’est pourquoi, 78,9% d’entre eux affirment que l’État ne peut encourager les communes qu’en subventionnant des politiques d’aménagement éco-responsable. Symboliquement, ce taux passe à 4,2% pour ce qui est de développer de nouveaux outils législatifs contraignants.

Un livre blanc sur la « Transition écologique des communes »

L’enquête révèle également que 41,4% des élus interrogés s’attendent à ce que la COP 21 « débouche sur un accord international contraignant ». Si tel est le cas, « leurs connaissances du terrain au niveau local et leurs savoir-faire devront être mobilisés pour appliquer les mesures sur lesquelles les États se sont engagés », explique l’Amif.
Ainsi, les maires franciliens se sont accordés sur la rédaction d’un livre blanc où seront répertoriées les différentes méthodes pour assurer la transition écologique des communes. Les élus locaux pourront ainsi s’appuyer sur un ensemble de bonnes pratiques déjà mises en place sur le territoire francilien et que l’Amif a pu recenser.
Premier constat, 100% des maires franciliens ont déjà adopté des mesures pour lutter contre le changement climatique et espèrent élargir leurs domaines d’interventions d’ici à 2020. De la gestion économe de l’énergie dans les bâtiments et espaces publics jusqu’à la celle des déchets, en passant par le développement des transports doux et la réintroduction de la nature et de la biodiversité dans la ville, les édiles sont porteurs de projets novateurs. Ils restent néanmoins contraints par le contexte budgétaire actuel. C’est pourquoi, 78,9% d’entre eux affirment que l’État ne peut encourager les communes qu’en subventionnant des politiques d’aménagement éco-responsable. Symboliquement, ce taux passe à 4,2% pour ce qui est de développer de nouveaux outils législatifs contraignants.

L’enquête révèle également que 41,4% des élus interrogés s’attendent à ce que la COP 21 débouche sur un accord international contraignant. Si tel est le cas, leurs connaissances du terrain au niveau local et leurs savoir-faire devront être mobilisés pour appliquer les mesures sur lesquelles les États se sont engagés. Ainsi, les maires franciliens se sont accordés sur la rédaction d’un livre blanc où seront répertoriées les différentes méthodes pour assurer la transition écologique des communes. Les élus locaux pourront s’appuyer sur un ensemble de bonnes pratiques déjà mis en place sur le territoire francilien et que l’Amif a pu recenser.

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